17 à u 24 d’Aostu 2024
(Vivaldi, Mozart, Rodrigo)
« Quoi de plus naturel pour accueillir le très grand guitariste Raphaël Feuillâtre et rendre hommage à son instrument que de l’écouter dans le sublime concerto d’Aranjuez, de Joaqim Rodrigo qu’il interprète dans le monde entier, ainsi que dans les délicieux concertos que Vivaldi a consacré à ce même instrument et auxquels Rodrigo rend un hommage lumineux en plein milieux du XXème siècle.
Une fête assurément pour l’ouverture de cette 24ème édition avec la présence complète de toute l’équipe des résidents dans la trop rare symphonie concertante de Mozart pour instruments à vent : un écrin sonore parfait, pour ce magnifique programme dédié au rêve. »
Raphaël Feuillâtre (guitare), Denis Pascal (piano), Marie-Paule Milone (violoncelle), Simon Milone (violon), Alexandre Pascal (violon), Joë Christophe (clarinette), Vladimir Percevic (alto), Mona Verhas (violon), Louis Baumann (hautbois), Jeanne Bonnet (contrebasse), Joseph Querleux (violon), Manuel Escaurazia (cor), Tristan Bronchart (flûte), Mathis Stier (basson)
(Bartok, Prokofiev, Kodaly)
L’ensemble de ce programme est consacré à la musique d’inspiration populaire, avec Bartok bien-sûr mais également Kodaly. La formation en simple du duo est un élément récurrent de cette musique que Bartok et Kodaly ont eu à coeur de rechercher dans tous les villages de Transylvanie, Hongrie, Roumanie et Bulgarie.
Recueillant plus de 3500 chants qui sans eux auraient disparu ainsi qu’une partie de la langue hongroise, ils ont su sauvegarder l’identité culturelle de leur pays par la musique et la poésie traditionnelle. De nos jours la question de l’identité est au coeur de bien des préoccupations : la musique semble pouvoir donner bien des réponses pacifiques.
Joseph Querleux (violon), Marie-Paule Milone (violoncelle), Alexandre Pascal (Violon)
(Bach, Cassado)
Voici deux grandes oeuvres emblématiques pour le violoncelle seul, instrument qui a la particularité d’avoir inspiré les plus belles oeuvres comme le fait abondamment le piano au XIX siècle.
Gaspar Cassado grand violoncelliste espagnol émigré au États Unis est le digne descendant des Marin Marais, Bach, Purcell et Kodaly. Il signe avec cette suite les plus belles pages pour le violoncelle, ancrées dans la musique traditionnelle de son pays natal.
Aurélien Pascal (Violoncelle)
(St Saens)
Il n’est nul besoin de présenter l’oeuvre la plus célèbre du compositeur français, même si ce dernier n’accepta que tardivement qu’elle puisse être joué en public tant elle avait été pensée comme une plaisanterie musicale réservée aux salons parisiens.
St Saens admit néanmoins que « le cygne », fameuse pièce dédiée au violoncelle, était certainement l’une de ses plus belles pages : grâce à lui l’oeuvre a traversé le temps : intacte, réjouissante et merveilleusement didactique.
Simon Milone (violon), Joseph Querleux (violon), Marie-Paule Milone (violoncelle), Vladimir Percevic (alto), Jeanne Bonnet (contrebasse), Tristan Bronchart (flûte), Joë Christophe (clarinette), Teva Mazoyer (piano), Denis pascal (piano), Océane Court-Mallaroni (comédienne)
Hector Obalk fait un stand’up en musique et en images sur l’histoire de la peinture occidentale, accompagné de ses musiciens et d’un écran géant projetant des détails époustouflants. Spectacle complet, visuellement sophistiqué, musical et drôlissime d’un expert original, passionné et pédagogue. Pour tout public, de 9 à 99 ans. Sur la trame d’un mur de 1000 images, chaque show propose de visiter toute l’Histoire de la peinture, de Giotto à Yves Klein, et au-delà…
Hector Obalk (Critique d’art)
(Mozart, Mendelsshon)
Mendelssohn est bien le musicien du romantisme et des mystères gothiques du XIX ème siècle. Ardent défenseur de Bach, sa production est souvent empreinte de poésies fantastique qui le mèneront à composer l’une de ses musiques les plus populaires sur « le songe d’une nuit été » de W. Shakespeare.
La lente et sombre déploration de Mozart dans l’adagio K.540 est comme une annonce de la lumière qui traversera ces ultimes productions.
Joë Christophe (clarinette), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte), Manuel Escauriaza (cor), Mathis Stier (basson)
(St Saens, Debussy, F.Poulenc)
Dans les années 1920, tout juste après la mort de Debussy, le cabaret « le boeuf sur le toit », crée par Jean Wiéner, fut un des hauts lieux de la culture parisienne qui s’étourdissait après la catastrophe de 14/18.
Un lieu artistique d’échanges avec le monde entier, Russie, Amérique, Espagne, Brésil, Argentine, les plus grands peintres et musiciens s’y sont croisés.
La musique française est la diversité même de ces courants contradictoires qui ont traversé ce lieu avant le nouvel embrasement de l’Europe.
Une belle réflexion sur la musique de cette période comme témoin du drame de l’espoir et de la reconstruction.
Denis Pascal (piano), Mona Verhas (violon), Joë Christophe (clarinette), Mathis Stier (basson), Louis Baumann (hautbois)
(Dvorak)
Le très brillant quintette op77 a été composé dans l’owa lors du séjour si idéaliste de Dvorak aux États-Unis. Eloigné de sons pays il chante peut-être encore plus intensément la nostalgie de sa « Mittel-Europa » qui disparaîtra presque au XXème siècle.
Alexandre Pascal (violon), Simon Milone (violon), Vladimir Percevic (alto), Marie-Paule Milone (violoncelle), Jeanne Bonnet (contrebasse)
(Haydn, Scubert)
Ecouter Schubert c’est répondre aux questions qui nous taraudent : l’amour, l’amitié, la mort… Rassurante même dans les plus sombres moments sa musique est une réponse au vide et au désir fou de plénitude.
Deux siècles après sa composition, l’adagio du quintette D.956 est devenu le compagnon de route des amoureux de toutes les musiques. Sans aucune distinction, il transporte définitivement l’auditeur-rice par un miracle renouvelé à chaque concert vers le plus beau moment de musique jamais écrit.
Aurélien Pascal (violoncelle), le Quatuor Hanson : Gabrielle Lafait (alto), Simon Dechambre(violoncelle), Jules Dussap (violon), Anton Hanson (violon)
(Jean-Xavier Lièvre, Mozart)
Les compositeurs du XVIIIème siècle se sont emparés des instruments de l’air et les ont peu à peu mélangés aux cordes. La noblesse de cette alliance loin d’évoquer un mini orchestre classique, aboutira aux plus grands chefs d’oeuvre de l’histoire avec Mozart, Weber et Brahms.
Mozart est certainement celui qui aura porté en gloire ces instruments en leur offrant de réels chefs d’œuvre qui éblouissent et émeuvent toujours l’auditoire.
Joë Christophe (clarinette), Manuel Escauriaza (cor), Tristan Bronchart (flûte), Vladimir Percevic (alto), Joseph Querleux (violon), Marie-Paule Milone (violoncelle)
Simon Milone (violon), Aurelien Pascal (violoncelle)
(Ibert)
La particularité de ce concert est certainement le lieu, mais aussi la chance en cette 24 ème édition d’y donner un répertoire qui s’intègre particulièrement à la douceur pastorale de cet écrin.
Ibert aura certainement beaucoup à voir avec le compositeur Corse Henri Tomasi qui lui aussi chantait la nature et la lumière.
Un concert champêtre plein d’esprit.
Joë Christophe (clarinette), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte), Manuel Escauriaza (cor), Mathis Stier (basson)
(Rossini / Mozart)
Le jeune Rossini a à peine 12 ans quand il compose ses délicieuses sonates à 4 qui, tout en promouvant un tout nouveau grand talent de la musique, évoque déjà la diabolique inventivité et brillance du futur compositeur du barbier de Séville et de la Cenerentola.
Quand à Mozart s’invite à ce programme avec la sérénade KVC 525, eine kleine nachtmusik !
Marie-Paule Milone (violoncelle), Vladimir Percevic (alto), Joseph Querleux (violon), Mona Verhas (violon), Jeanne Bonnet (contrebasse)
(Création de Bruno Coulais)
C’est un moment particulier que la création d’une œuvre ; Bruno Coulais est un habitué du festival et nous fêtons à nouveau sa présence réconfortante.
C’est aussi une rare formation que celle du trio avec piano qui est rarement associé à la voix de contre-ténor autour de textes bibliques dont l’amour est l’axe central et cela, avec Coulais et Goude, dans la plus pure tradition de la musique minimaliste et du « tintinabuilisme » de Pärt.
L’évocation extrêmement mélancolique des 6 Dumka de Dvorak toutes aussi empreintes de profane et de sacré au sein de La Chapelle st Restitude, en fera un moment profond et définitif comme l’est toute création.
Trio Pascal : Denis pascal (piano), Alexandre Pascal (violon), Aurélien Pascal (violoncelle), Paul Figuier Contre-Ténor
(Smettana, Schumann)
Le romantisme allemand fulgurant aura été en tout point écrasant et la seule manière possible d’exister pour les compositeur tchèques, russes, hongrois même espagnol et français.
Néanmoins des voix se font peu à peu entendre, au milieu du XIX siècle, en un mouvement qui depuis Smetanna et Dvorak feront émerger Janacek, Martinu, Bartok et le groupe des 5 en Russie au tournant du siècle.
Le trio de Smetana dans ces années 1855 reste très attaché à la tradition allemande et Lisztienne il n’en est pas moins la prémisse d’un nouveau nationalisme musical.
Schumann est lui le représentant absolu de la grande tradition allemande portée par Beethoven, Mendelssohn et Weber, il signe néanmoins un chef d’oeuvre absolu avec son quatuor avec piano dont le mouvement lent est un sublime chant d’amour.
Trio Pascal : Denis Pascal (piano), Alexandre Pascal (violon), Aurélien Pascal (violoncelle), Yume Fujise (violon)
(Pugnani-Kreisler, Fauré, Mozart, Korngold, Kreisler)
Un siècle de musique depuis la Vienne de Mozart vers celle plus folle de Kreisler, en passant par Fauré maître de la musique romantique Française qui signe avec sa première sonate un chef d’oeuvre pour violon et piano dans l’ombre de ses grands aînés allemands et autrichiens.
Denis Pascal (piano) et Alexandre Pascal (violon)
(Aire à blé – 15 min de marche)
(Mendelssonh, Dvorak)
Ôde à la nuit…. Nous fêtons comme de coutume le coucher du soleil sur ce lieu mythique, et cette année au son de la musique de Mendelssohn et de sa poésie fantastique, puis de la douce sérénade de Dvorak garant d’une communion parfaite avec tous les éléments…
Yume Fujise (violon), Mona Verhas (violon), Joseph Querleux (violon), Vladimir Percevic (alto), Violaine Despeyroux, (alto), Jeanne Bonnet (contrebasse), Marie-Paul Milone (violoncelle), Aurelien Pascal (violoncelle), Joë Christophe (clarinette), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte), Manuel Escauriaza (cor), Mathis Stier (basson), Eliza Millet (violoncelle)
Gilles Alonzo a composé deux partitions pour violon et piano pour ces deux films de Charlie Chaplin, The Vagabond et A Night in The Show, qu’il interprète avec la violoniste Alexandra Jouannié.
Ce duo est né d’une formidable entente musicale mais aussi, d’une solide et belle amitié. Et c’est bien cette amitié qui inspira un certain nombre d’œuvres illustrant le violon dans la production de ce compositeur. Ces partitions sont l’expression parfaite du caractère passionné de chacun de ces musiciens, mais aussi le reflet du lien qui les unit.
Gilles Lonzo (composition & piano), Alexandra Jouannié (violon)
(Boccherini, Dvorak)
Est et ouest : encore une fois nous jouons sur les voyages de ces européens qui ont quitté un moment notre vieux continent pour revenir encore plus heureux vers leurs racines.
Si le quintette de Boccherini est l’une des pages les plus connues du compositeur avec son célèbre menuet, le quatuor américain de Dvorak n’en est pas moins l’une des pages les plus brillante du compositeur où il modifie son approche de l’écriture au contact de la culture amérindienne.
Yume Fujise (violon), Mona Verhas (violon), Vladimir Percevic (alto), Aurélien Pascal (violoncelle), Eliza Millet (violoncelle)
(Mozart)
Certainement l’une des pages les plus romantiques de Mozart.
Une tonalité de sol mineur est marquée à jamais par ce chef d’oeuvre peu avant la très célèbre 40 ème symphonie. La formation unique en quintette à deux altos est une invention de Mozart, véritable expérimentation, à son habitude il y établi pour toujours un modèle insurpassable, définitif nous offrant un pur chef d’œuvre.
Alexandre Pascal (violon), Mona Verhas (violon), Violaine Despeyroux (alto) Vladimir Percevic (alto), Aurélien Pascal (violoncelle) Eliza Millet (violoncelle)
(Piazzola, Dvorak)
Quoi de plus naturel que de joindre la mélancolie des saisons de Piazzola, l’évocation d’un passé heureux ou bien même le rêve d’une vie meilleure avec la Dumka du quintette de Dvorak chanson d’Ukraine sur le destin et l’impossible reconstruction de de la patrie.
Denis Pascal (piano), Joë Christophe (clarinette), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte), Manuel Escauriaza (cor), Mathis Stier (basson), Alexandre Pascal (violon), Yume Fujise (violon), Violaine Despeyroux (alto), Marie-Paule Milone (violoncelle)
21h30 – Cappella Santa Restituda – Calinzana
Un programme contemplatif inspiré de l’ancien office des complies.
Oeuvres de Tallis, Sheppard, von Bingen, Byrd, Marsh, Veljo Tormis…
« The Gesualdo Six »
Ensemble vocal
Comme un rappel du magnifique Quintette à deux alto KV 516, lui aussi en sol mineur, les artistes résidents des Rencontres de Calenzana sont heureux d’offrir au public d’Ile Rousse l’un des Grands chef d’œuvre de Mozart.
L’impopularité dont il souffrait durant en 1788 a certainement marqué cette symphonie d’une rare atmosphère inquiète et tourmentée Elle est aujourd’hui immensément populaire, de loin la plus jouée du compositeur, l’une des œuvres les plus emblématiques de la musique classique universelle. Sa géniale véhémence, fruit d’un art au sommet de ses capacités, n’a jamais cessé de séduire toutes les générations depuis le temps de sa création.
Marie-Paule Milone (violoncelle), Mona Verhas – Joseph Querleux (violons), Violaine Despeyroux (alto), Jeanne Bonnet (contrebasse),Manuel Escauriaza (cor), Joë Christophe (clarinette), Mathis Stier (basson), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte)
Grigor Narekatsi ,Giya Kancheli , Domenico Gabrielli, Joseph Marie Clément Dall’Abaco , Domenico Galli, Peteris Vasks, Giovanni Sollima
Un récital de Violoncelle dirigé par le musicien de renommée internationale Federico Bracalente.
Federico Bracalente (Violoncelle)
Prenez votre ticket pour un voyage dans le temps qui vous fera redécouvrir les musiques de Bach jusqu’aux Beatles en passant par des musiques traditionnelles corses.
Laetitia Hilmo (Violoncelle), Christophe Mondoloni (Voix / Guitare)
Véritable miroir, ce programme a été pensé comme un aller-retour incessant dans le temps autour de deux compositeurs Chopin et Satie. L’un ouvre des portes que l’histoire de la musique empruntera largement jusqu’au jazz, l’autre est le nouveau poète de l’esthétique moderne de la musique et du concert : un penseur plus qu’un musicien, le premier à vouloir la musique comme fond sonore, le premier à ne plus vouloir du concert romantique comme seul modèle, un esthète un génie marginal ami de Debussy, Ravel et Cocteau. Sa musique reste cependant intemporelle et nous convoque à une expérience unique.
Denis Pascal (Piano)
Artistes résidents
Le concert prévu « L’Esprit du Rythme et la Voie du Geste » par Jean-Claude Paolini est annulé pour raison médicale.
Le duo Colla parte est composé du pianiste Olivier Cangelosi et de la soprano Lyrique Coloratura Julia Knecht. La particularité de ce duo est d’apporter le répertoire de la mélodie, de l’Opéra et de l’Opérette à un large public par le biais d’une mise en scène ludique et accessible à tous.
Julia Knecht (Soprano), Olivier Cangelosi (piano)
Le duo impressionniste est né de la rencontre d’une harpe celtique et d’une guitare basse mais surtout de Katell et de Matthieu.
L’une est circassienne acrobate et harpiste que l’on a pu voir accrocher les nuages à sa poitrine dans Crash Again ». L’autre est musicien, compositeur, auteur et interprète. Toujours à tendre et à détendre les vibrations de notre espace-temps avec toutes les cordes à sa portée. On le retrouve aussi dans Crash Again. C’est à eux deux qu’ils composent et qu’ils jouent. Leurs voyages, les explorations de leur terre et rencontres fortuites sont les sources où s’alimentent la chaleur et la caresse fabuleuses de leurs partitions.
Il ne sert pas à grand-chose de tenter d’expliquer leur musique, tant elle semble venir d’ailleurs, de pays qui n’existent pas. Les notes courent sur tous nos sens pour leur rappeler leurs fonctions fantastiques, nostalgiques et érotiques. Harpe et basse fusionnent en un langage d’une grande clarté qui leur permet de dialoguer en toute liberté dans une tension envoûtante. De cette étreinte naît une extraordinaire leçon musicale.
Quand Matthieu apporte un lyrisme contenu, Katell s’empresse d’y ajouter des embruns et vice versa.
Katell Boisneau (Harpe), Matthieu Tomi (Guitare, Basse)
(Mozart, Vivaldi, Haendel, Schubert, Back, Beethoven, Wagner, Dvorak)
Il fût un temps où, devant les théâtres du nouveau septième art, le cinéma, des orchestres jouaient pour inviter le public à se débarrasser de ses préjugés et venir découvrir ces mystérieuses images qui bougent… la musique était donc la clé d’entrée vers le cinéma.
Quelque 120 ans plus tard, le cinéma et devenu le porteur de notre rapport à la musique, l’image est la clé d’écoute, la musique nous parle depuis, en image et en couleur. Si Ravel Bartok et Debussy on résolument influencé la musique de cinéma, de grands réalisateurs comme Kubrick ou Visconti ont fait énormément pour la redécouverte du répertoire classique de Schubert à Malher.
C’est cette alliance que nous fêtons pour cette dernière soirée des rencontres de Calinzana.
Denis Pascal (piano), Joë Christophe (clarinette), Louis Baumann (hautbois), Tristan Bronchart (flûte), Manuel Escauriaza (cor), Mathis Stier (basson), Aurélien Pascal (violoncelle), Yume Fujise (violon), Violaine Despeyroux (alto), Marie-Paule Milone (violoncelle), Jeanne bonnet (contrebasse), Vladimir Percevic (alto), Mona Verhas (violon), Joseph Querleux (violon), Eliza Millet (violoncelle)