Quatuor Modigliani

« Le Quatuor Modigliani fait partie à l’évidence de la cour des grands. » Le Monde 

 

Le Quatuor Modigliani, formé en 2003 par quatre proches amis est devenu l’un des quatuors à cordes les plus demandés au monde, invité dans des lieux tels que le Théâtre des Champs-Élysées, la Philharmonie de Paris/Cité de la Musique, le Musikverein  et le Konzerthaus de Vienne, le Konzerthaus de Berlin, le Concertgebouw d’Amsterdam, la Philharmonie de Cologne, Carnegie Hall, la Tonhalle de Zurich, Victoria Hall de Genève, la Schubertiade de Schwartzenberg, le Wigmore Hall de Londres, le Concertgebouw d’Amsterdam, la Philharmonie de Luxembourg, le Bozar de Bruxelles, l’Auditori de Barcelone, la Library of Congress de Washington, le Kimmel Center de Philadelphie, les festivals de La Roque d’Anthéron, Montreux, Lucerne, Rheingau, Bad Kissingen, Schleswig-Holstein, le Festival de Radio-France et Montpellier, la Folle Journée de Nantes, le festival de Lanaudière au Québec, le festival Toronto Summer Music, le Maverick Festival, le Copenhagen Chamber Music Festival, ainsi que plusieurs salles majeures en France comme la MC2 de Grenoble, la Coursive de La Rochelle, l’Opéra d’Avignon, l’Opéra de Lille, la Salle Molière de Lyon, l’Auditorium de Bordeaux, la Salle Poirel de Nancy, le Grand Théâtre de Provence à Aix, le TAP de Poitiers.

 

En 2015 et 2016, le quatuor repart en tournée au Japon, en Corée, en Australie, aux Etats-Unis, il retournera au Concertgebouw d’Amsterdam, au Konzerthuset de Stockholm, au Wigmore Hall de Londres, à Carnegie Hall, à la Philharmonie de Paris, à la Herkulessaal de Munich, à la Philharmonie d’Essen, à la Schubertiade de Hohenems, au Festival international d’Édimbourg et dans de nombreux endroits à travers la France.Le Quatuor Modigliani poursuit depuis sept ans une riche et étroite collaboration avec le label Mirare. Après un premier disque Haydn (Grand Prix du disque de l’Académie Charles Cros, Sélection du mois du magazine Strad, Sélection Bayerische Rundfunk, **** Klassik.com, cinq Diapasons), puis un très beau Mendelssohn en 2010 (disque du mois du magazine allemand Fonoforum) suscitant l’admiration de multiples critiques majeurs de différents pays et un disque Brahms en compagnie du pianiste Jean-Frédéric Neuburger et de la mezzo Andrea Hill, le quatuor sortait en avril 2012 son quatrième disque baptisé « Intuition »  rassemblant des quatuors de jeunesse de Mozart, Schubert et Arriaga. Il présentait en janvier 2013 un disque de musique française (Debussy-Ravel-Saint-Saëns), lui aussi couvert d’éloges par la critique internationale (le disque reçoit notamment les ffff de Télérama). Pour son sixième disque, le Quatuor revient à Haydn, avec trois quatuors de la maturité du compositeur (opus 50 n° 1, opus 76, n° 1 et opus 77 n° 1). Jean-Luc Macia dans Diapason écrit « Dix ans déjà que le Quatuor Modigliani nous gratifie de disques remarquables… On applaudit, de plage en plage, la justesse des tempos, la légèreté de la polyphonie… et surtout leur manière de toujours faire chanter les thèmes de Haydn. » Un disque Bartók- Dohnányi-Dvořák est paru à l’automne 2015.

 

Un an seulement après leur formation, les Modigliani s’étaient révélés à l’attention internationale en remportant successivement trois 1ers Prix aux Concours internationaux d’Eindhoven (2004), Vittorio Rimbotti de Florence (2005) et aux prestigieuses Young Concert Artists Auditions de New York (2006). Après avoir reçu l’enseignement du Quatuor Ysaÿe, puis suivi les master classes de Walter Levin et de Gyorgy Kurtag à Pro-Quartet, le Quatuor Modigliani est invité à travailler aux côtés du Quatuor Artemis à la Berlin Universität der Künste

 

Le Quatuor se produit en musique de chambre avec Sabine Meyer, Renaud Capuçon, Jean-Frédéric Neuburger, Beatrice Rana, Michel Dalberto, Augustin Dumay, Henri Demarquette, Abdel Rahman el Bacha, Gary Hoffman, Boris Berezovsky, Paul Meyer, Lise Berthaud, Michel Portal, Gérard Caussé, Marie-Elisabeth Hecker ou Daniel Müller-Schott.

 

En 2014, le Quatuor Modigliani se voit confier la direction artistique des Rencontres musicales d’Evian. Après treize ans d’interruption, le festival, créé en 1976 par Antoine Riboud et longtemps dirigé par (feu) Mstislav Rostropovich, entame une nouvelle ère sous l’impulsion conjointe de l’Evian Resort et du Quatuor Modigliani. La première édition connaît un succès très prometteur pour l’avenir du festival.

 

Grâce au soutien de généreux mécènes, le Quatuor Modigliani a le privilège de jouer quatre magnifiques instruments italiens.

 

Philippe Bernhard joue un violon de Giovanni Battista Guadagnini de 1780.

Loic Rio joue un violon d’Alessandro Gagliano de 1734.

Laurent Marfaig joue un alto de Mariani de 1660.

François Kieffer joue un violoncelle de Matteo Goffriller « ex-Warburg » de 1706.

 

 

Le Quatuor Modigliani remercie la Spedidam pour son soutien.

 

 

 

REVUE DE PRESSE

« Il y a cette vive étincelle de la jeunesse dans le jeu des Modigliani. Et j’entends jeunesse dans le meilleur sens du terme. Le son est léger et brillant ; d’une agilité revigorante, et la beauté pure de leurs mouvements lents m’a littéralement clouée au sol. » Kate Molleson, The Guardian, novembre 2015

 

« Les Modigliani jouent avec élégance et raffinement, donnant un style très distinct au phrasé, à l’équilibre général et à la qualité du son… Cet équilibre impénétrable, cette douceur naturelle sans aucun maniérisme et le son astringent des quatre beaux instruments du quatuor créaient une heureuse substance claire et douce-amère. » The Sydney Morning Herald, octobre 2015

 

« Le Quatuor Modigliani en donne ici une version ébouriffante, enthousiaste et cohérente, où chaque instrument se rend indispensable sans jamais prendre le pas sur les trois autres…» Télérama 2015, ffff 

 

«… L’expression du Quatuor Modigliani est toujours marquée par le raffinement. Ce raffinement ne le quitte jamais. Cela confère noblesse et élégance à ses interprétations. La joie de vivre pour Dvořák, une angoisse entrecoupée d’apaisement pour Bartók et une épopée romanesque pour Dohnányi, voilà les mots qui nous viennent à l’esprit en écoutant ce disque de référence, réalisé avec grand soin, autant pour l’interprétation que pour la prise de son nette et claire… » Resmusica, 2015

 

« Très bel équilibre sonore où la voix de chacun est présente de manière égale, s¹exprimant avec une ferveur éblouissante dans Dohnanyi et une brillante finesse dans Ravel. » The Guardian, août 2015

 

 

 

 

« Les Modigliani ont joué le Quatuor « Américain » de Dvorak comme s¹il avait été spécialement écrit pour eux.. Et entre leurs mains, la magie de Schubert a saisi un public très concentré et absorbé » The west australian 2015

 

“Ils jouent avec une impressionnante clarté, un sens extrêmement précis des structures et des équilibre, tout cela exprimé avec subtilité et constance. » BR Klassik 2014

 

“Le jeu d’ensemble du Quatuor Modigliani rend un reel hommage à la clarté et à l’éloquence de l’oeuvre de Haydn, mais ne sacrifie jamais pour autant sans que cela se fasse au sacrifice de l’espièglerie du maître. Ils n’ont pas peur de prendre des risques…je ne peux imaginer un enregsitrement plus animé » HR2 Kultur (Hessischer Rundfunk) février 2014

 

 

«C’est un plaisir immense d’entendre avec quel panache, quelle allégresse, quelle énergie juvénile le quatuor joue ses œuvres, sans jamais céder à la désinvolture. On est toujours impressionné par l’équilibre des quatre voix, la délicatesse des sons, et l’attention constante à la dynamique, l’harmonie et la précision rythmique. Tout semble naturel, souverain et très souple. » Harald Eggbrecht, Süddeutsche Zeitung février 2014

 

(….) Lignes limpides, structure puissante, parfaite maîtrise: le Quatuor Artemis et le Quatuor Modigliani ont investi les quatuors à cordes de Schubert – ils appartiennent à la fine fleur de la musique de chambre classique. Et ils rockent. (….)

Werner Theurich, Spiegel, Juin 2012

Toujours plus haut

(….) une soirée enchanteresse avec les quatre jeunes musiciens du Quatuor Modigliani (Philippe Bernhard et Loïc Rio, les violons, Laurent Marfaing, l’alto, François Kieffer, le violoncelle), qui ont joué les œuvres de jeunes génies dans un programme particulièArement sophistiqué avec une énergie irrésistible pleine de spontanéité, une attention toujours en éveil à la faveur de timbres coloré et d’une fraîcheur rythmique.(….) Le Quatuor Modigliani commença dans le calme sublime de suites d’accords desquels surgira ensuite l’énergique Allegro Vivace. Leur manière de construire le mouvement central comme une grande narration et l’Intermezzo comme un jeu poétique, la vigueur du Finale, avant de retrouver le calme olympien des premiers accords….Tout était époustouflant. (….)

Harald Eggebrecht, Süddeutsche Zeitung, Juin 2012

 

(…) Les Modigliani, disque après disque, confirment leur talent décelé dès leur premier enregistrement. Leurs qualités personnelles restent les mêmes : énergie, goût du risque, belles qualités sonores individuelles et d’ensemble. (…) Cette capacité à se situer pertinemment dans la chronologie esthétique n’est finalement pas si courante et doit être louée…..Dans leur approche et dans leurs qualités intrinsèques, les Modigliani évoquent de plus en plus les Hagen qui avaient eux aussi brillé dans les œuvres de jeunesse de Wolfgang Amadeus Mozart, notamment. (…)

Antoine Mignon, Classica, Juin 2012

 

« Fine incisivité, cohérence des voix, imitations subtiles, premier violon ailé, rythmique serrée sans excès de rage pour Arriaga. Grâce quasi vocale, polyphonie transparente, bouffée Sturm une Drang chez Mozart. Dynamique des couleurs et des nuances, lyrisme prégnant, légèreté millimétrée sous une apparente liberté au service de Schubert. Avec ce programme (…) le quatuor français (…) confirme son excellence. » Jean Cabourg, Diapason (5 Diapasons.), Juin 2012

 

«  Un des meilleurs quatuors à cordes au monde de notre temps. Les Modigliani jouent d’une manière tellurique, musclée, puissante dans le son, à la façon d’un Dionysos. Équilibre, transparence, compréhension symphonique, sûreté du style – leur jeu s’est situé à un niveau très élevé et enthousiasmant.
En espérant vous revoir bientôt!  » Harald Eggebrecht, Süddeutsche Zeitung, mars 2011